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Crédit Photo : VIDEO DS OFFICIAL - DS 9

DS 9, le renouveau du haut de gamme à la française, c’est elle !

C’est le retour du haut de gamme français, l’affirmation d’un style élégant et chic, la transformation d’une ambition automobile forte. La nouvelle DS9 cristallise tout cela et même plus. Elle atteint 4,93 m de long et peut développer jusqu’à 360 chevaux en version hybride rechargeable. DS Automobiles mise sur sa berline inédite pour séduire les automobilistes les plus exigeants et raffinés. En France, mais aussi en Asie, avec une clientèle qui devrait aimer ce charme français et cette proposition alternative aux berlines allemandes bien installées.

Grande berline Premium : une si longue attente

Dans le groupe PSA, la séparation claire du rôle de chaque marque commence à porter ses fruits. On sait que Peugeot entend embrasser la carte de la sportivité et du luxe associés, mais la touche Premium et exclusive reste la chasse gardée de DS Automobiles. Devenue une marque à part entière il y a maintenant cinq ans, DS Automobiles ne pouvait plus continuer à se contenter de ses SUV, les DS7 Crossback et DS3 Crossback.

La DS9 marque un vrai tournant. Cette grande berline à quatre roues motrices est la plus longue jamais construite par un constructeur français ! Elle qui utilise la plate-forme EMP2 de PSA possède un empattement de 2,90 m. Si l’on doit chercher dans la famille PSA une cousine lointaine, c’est sans doute du côté de la 508 qu’il faut regarder.

Une berline luxueuse moins conventionnelle que les allemandes

La DS9 possède son style propre. Avec des lignes horizontales très étirées, du chrome (notamment un bandeau chromé qui sépare le capot en deux), une face avant qui évoque les SUV DS ou encore des poignées rétractables au niveau des portières, la berline veut se démarquer.

Sa signature lumineuse est aussi innovante que surprenante, avec en bonus une évocation de la Citroën DS grâce à des clignotants situés de part et d’autre du pavillon, notamment dans la partie haute de la lunette arrière.

En ce qui concerne l’équipement à bord, il est très généreux avec au programme de la conduite autonome, un système de vision nocturne et même une suspension adaptative. Concrètement, la DS9 peut adapter sa trajectoire jusqu’à 180 km/h au sein d’une voie. La détection de somnolence du conducteur est présente et il est possible de bénéficier d’un éclairage LED matriciel.

360 chevaux pour une berline luxueuse et puissante

Grâce à l’utilisation de la technologie hybride rechargeable et d’une transmission aux quatre roues, la version la plus puissante de la nouvelle DS9 développe 360 chevaux. De quoi venir affronter directement les versions musclées des Audi A6, BMW Série 5 et Mercedes Classe E.

Des versions plus sages qui se contentent de 225 et 250 chevaux, toujours avec l’hybride rechargeable, sont également proposées au catalogue, tout comme une déclinaison essence classique à 225 chevaux (avec le 1.6 Puretech). L’autonomie en tout électrique devrait osciller de 40 à 50 km selon le cycle WLTP, grâce à une batterie de 11,9 kWh. Pas de diesel au menu.

On ne connaît pas encore la date de disponibilité de cette nouvelle DS9, ni l’éventail de déclinaisons ou encore la grille tarifaire. Ces éléments devraient être communiqués très rapidement, la DS9 pouvant débarquer avant la fin de l’année 2020.

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8 commentaires pour “DS 9, le renouveau du haut de gamme à la française, c’est elle !

  1. Attendons… J’ai possédé un DS7 pendant 14 mois, le siège avant grinçait et le SAV de la marque « premium » se contentait de dire « oui, on nous en a parlé… ». Rien de très haut de gamme la dedans, déjà que l’insonorisation n’était pas au top (bon, j’avais opté pour le HDI 180 CV mais quand même).
    La suspension adaptative est une esbrouffe, difficile de faire la différence entre les moments où elle est activée ou pas. Il lui arrivait aussi de se désactiver toute seule mais allez expliquer cela à un SAV terrassé par un siège qui grince.
    Je pourrais multiplier les exemples, pour faire court le DS7 est plein de bonnes idées mais aucune n’est vraiment aboutie ni convaincante à mon gout.
    Pour finir sur une note optimiste, l’éclairage matriciel est un pur bonheur mais j’ai échangé ce paquebot parfois pataud contre un Z4 de 2011 et malgré la différence d’âge, je ne regrette pas…

  2. Quand reviendra-t-on aux vrais pare-chocs ? Au stationnement, en ville, avec une telle longueur > bonjour les dégâts ! Pas dûs à son conducteur mais aux autres voitures (un peu anciennes et sans aide au stationnement) qui vont se garer devant ou derrière, pendant dîner au restaurant par exemple…Caméra embarquée-vision de nuit nécessaire pour retrouver l’auteur !
    Mais c’est vrai qu’elle est belle. Elle rejoint la lignée des grands carrossiers de la première moitié du XX° siècle. Je préfère quand même le prototype Peugeot (nom ?).

  3. Bonne idée
    Enfin une berline avec 4 roues motrice et de la puissance .
    Le recette pour aller taquiner les allemandes…..

  4. Tape à l’oeil (l’énorme barre chromée sur le capot!!! et la calandre maison archi toc…), pas d’innovation technologique et un moteur de 1,6 comme base, on peut continuer à dormir tranquille Outre Rhin ou chez Lexus.

  5. « face aux allemandes, enfin le renouveau du haut de gamme à la française »… discours entendu 1000 fois, avec la C6, la Vel Satis, la Safrane, la Xm,…que de modèles à succès ! On continue la liste ?

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